09/02/2017 - 10 h 00 - 0 h 00        


Echangeparcelle.fr : les raisons du succès ?

Echangeparcelle.fr : déjà 5 500 ha deux mois après son ouverture ! Mickaël Jacquemin et Vincent Barbier, les deux fondateurs d’echangeparcelle.fr participent au prochain webinar Syrpa pour vous expliquer le succès de cette nouvelle plateforme de #cofarming et l’intérêt que peut y trouver un partenaire.

Lancé fin novembre, echangeparcelle.fr enregistre dès ces deux premiers mois d’existence plus de 5 500 ha et 550 parcelles d’inscrites disponibles à l’échange. Ce sont plus de 30 échanges directs et 70 en triangulaire qui ont été proposés à des agriculteurs début janvier 2017. Une croissance rapide qui montre l’intérêt de cette plateforme gratuite pour les agriculteurs/viticulteurs/éleveurs.

Si le site facilite la mise en relation entre agriculteurs, il n’intervient pas dans la phase de contractualisation : il s’agit d’une étape qui est laissée au libre arbitre de chaque exploitant qui peut faire appel à un tiers pour le conseiller. C’est là qu’interviennent les partenaires conseils sélectionnés par les fondateurs du site : géolocalisés, les conseillers les plus proches peuvent apporter leur expertise en matière juridique, foncière et technique ou environnementale.

Certains partenaires, comme Agrosolutions, ont compris l’intérêt d’echangeparcelle.fr : « Cet outil ouvre le champ des possibles pour le conseil. Aujourd’hui, 10 ha n’équivaut pas à 10 ha, selon l’endroit où l’on se trouve et la réglementation, notamment environnementale, en vigueur », juge Carole Zakine, manager – Docteur en droit de l’environnement pour Agrosolutions.

 

A propos de echangeparcelle.fr :

Créé à l’initiative d’un agriculteur marnais, Mickaël Jacquemin, membre de Farre et d’un réseau de fermes DEPHY, et d’un spécialiste en nouvelles technologies, Vincent Barbier, echangeparcelle.fr permet aux agriculteurs ayant des parcelles éloignées de les échanger pour réduire leurs charges, avoir un moindre impact sur l’environnement, diminuer les risques liés aux longs déplacements et bénéficier de plus de temps (professionnel ou personnel) pour eux et leurs salariés : cela répond à la triple performance souhaitée par l’agroécologie.