L’année 2017 a été une année de “crises” alimentaires marquées par leur diversité, leur ampleur pour certaines, leurs origines et propagations multiples et bien sûr leur imprégnation digitale. Virginie Becquart, directrice générale, Charles Collet, directeur clientèle et Victor Laratte, consultant gestion de crise, de l’agence Protéines, ont présenté l’étude qui a été réalisée analysant les 7 crises alimentaires majeures “food” sur l’année 2017.

En France, les consommateurs, les citoyens, les parties prenantes… s’expriment chaque jour un peu plus sur les sujets alimentaires et y affirment leurs convictions, leurs revendications, voire leur identité en particulier sur les réseaux sociaux.. Le “food” devient un enjeu politique et identitaire ! Dans ce contexte, les produits et les pratiques des entreprises agro-alimentaires et des distributeurs sont sous haute surveillance. Et dans le même temps, le niveau d’inquiétude et de défiance alimentaire ne cesse de progresser.

Les alertes et les crises exacerbent les enjeux de transparence des acteurs de l’agro-alimentaire. Les ONG et contradicteurs gagnent la bataille de la communication sur les réseaux sociaux, et l’émotion y règne en maître. Il est urgent aujourd’hui pour les marques et les entreprises de passer de stratégies de contre-feux dans l’urgence visant à limiter les dégâts une fois que la crise est là… à la construction d’un capital confiance qui leur offrira plus de résistance aux attaques.

L’agence Protéines a sélectionné 7 crises alimentaires majeures ayant généré plus de 400 000 publications en France sur les blogs, forums, sites d’actualité et réseaux sociaux en 2017 : la pêche électrique, L214, Pepsi, Nutella, Fipronil, nanoparticules et Lactalis. Trois cas sont plus particulièrement présentés (Fipronil, campagne contre la pêche électrique et Lactalis) pour mieux en comprendre les faits marquants. 

 

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